miércoles, 28 de noviembre de 2012

Pour ne plus croire aux contes de fées

Confieso 
que esto no es la felicidad,
yo vivía de amor
y hoy ya no tengo a mi alma gemela.
Escucho
mi dolor
y el silencio se hace pesado
los segundos son horas.

Imagino lo que dices,
lo que haces,
en lo que piensas.

Adivino lo que vives
a su lado
en mi ausencia.

Dejé
marchitarse las flores del jardín,
dejé
tu olor sobre la almohada,
dejé
las persianas cerradas todo el verano
para no volver a ver
amanecer




J’avoue c’est pas le bonheur

Moi je vivais d’amour
Aujourd’hui je n’ai plus l’âme sœur
J’écoute ma douleur
Et le silence est lourd
Les secondes sont des heures
Et j’imagine ce que tu dis, ce que tu fais, ce que tu penses
Et je devine ce que tu vis à ses cotés en mon absence

J’ai laissé
Les fleurs du jardin se fâner
J’ai laissé
Ton odeur sur l’oreiller
J’ai laissé
Les volets fermés tout l’été
Pour ne plus voir le jour se lever

J’avoue c’est pas le bonheur
Moi je rêvais d’amour
Aujourd’hui j’en n'ai plus le cœur
J’avoue et j’effleure
Nos je t’aime pour toujours
Qui lentement se meurent
J’imagine ce qu’il te dit, ce qu’il te fait, ce qu’il en pense
Je devine ce que tu vis à ses cotés en mon absence

J’ai laissé
Les fleurs du jardin se fâner
J’ai laissé
Ton odeur sur l’oreiller
J’ai laissé
Les volets fermés tout l’été
Pour ne plus voir le jour se lever

Et la nuit j’entends ta voix
Et ton corps, je le vois
Mais la nuit j’entends dans ta voix
Que tu ne reviendras pas

J’ai laissé
Les fleurs du jardin se fâner
J’ai laissé
Ton odeur sur l’oreiller
J’ai laissé
Les volets fermés tout l’été
Pour ne plus voir le jour se lever

J’ai laissé (x4)
J’ai laissé les fleurs se fâner
J’ai laissé (x4)
J’ai laissé ton odeur sur l’oreiller
J’ai laissé (x4)
J’ai laissé les volets fermés
J’ai laissé (x4)
J’ai laissé les fleurs se fâner

J’ai laissé
Les fleurs du jardin se fâner
J’ai laissé
Ton odeur sur l’oreiller
J’ai laissé
Les volets fermés tout l’été
Pour ne plus voir le jour se lever

Pour ne plus croire aux contes de fées

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